Franck Ferrari a su s’imposer sur les scènes internationales, mais aussi à l’Opéra de Paris, où sa présence continue prouve qu’on peut être prophète en son pays, comme l’un des barytons français qui comptent. Ses premiers diables des Contes d’Hoffmann, dans la reprise de la production de Robert Carsen, arrivent comme la juste récompense de très bons et loyaux services.
Le 01/02/2007, par Mehdi MAHDAVI
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